Les Google Glass ne sont pas encore commercialisées que la planète perd ses repères et inquiète les autorités. Ces lunettes sont décidément dans l’oeil du cyclone de la justice américaine. « Vade retro satanas », Google Glass on t’aura prévenu….
Après un premier procès où une jeune femme a été amendée puis acquittée pour le port de Google Glass au volant, les fédéraux restent en alerte sur le sujet et n’hésitent pas à mettre à interpeller un homme portant des Google Glass au cinéma.
Rappelons que les Google Glass sont des lunettes connectées actuellement testées par quelques milliers de privilégiés dans le monde et qui permettent de consulter des informations, prendre des photos, lire ses sms, mails, faire des vidéos … mais aussi un moyen de corriger sa vue car c’est aussi des lunettes!
Interroger pendant 1 heure par le FBI.
Dans l’Ohio, un homme accompagné de sa femme se rend au au cinéma pour se détendre devant un bon film, mais une fois installé dans son fauteuil, le FBI l’interpelle et le conduit dans une salle bien à part pour le questionner pendant environs 1 heure. En effet, le guichetier, intrigué par cet homme porteur de Google Glass, contacta les autorités le suspectant de vouloir enregistrer le film à l’aide de ses Google Glass.
Ce sont des lunettes de vue.
Le piratage est pris très au sérieux aux Etats-Unis. L’homme tenta de se justifier auprès des agents fédéraux, en précisant que les Google Glass étaient éteintes et que les verres lui sont indispensables pour voir le film. D’abord perplexes, les agents n’entendent rien et poursuivent l’interrogatoire puis décident finalement de vérifier le contenu des lunettes pour clôturer le débat. Aucune trace du film diffusé en salle n’a été trouvé.
L’homme fût libéré, et le cinéma lui offrit des places de cinéma en guise d’excuses.
Une affaire qui risque de se répéter plus d’une fois d’autant que Google est bientôt prêt à mettre en vente les lunettes. Un objet connecté hors du commun qui a coup sûre va cartonner un peu partout dans le monde….
A bientôt sur mygsm.fr